Dimanche 2 juillet – 11 h – Parc de la Baume – Dieulefit
Michel Le Van Quyen
Lorsque nous favorisons le silence acoustique, mais aussi attentionnel, visuel ou méditatif, notre cerveau bascule dans un état très particulier.
C’est cette déconnexion qui l’aide à se régénérer, à évacuer les toxines conduisant aux maladies neuro-dégénératives. En outre, le mode « par défaut » de notre cerveau nous aide à penser à des choses plus profondes et d’une manière imaginative.
Si les grandes sagesses d’Orient et d’Occident l’ont déjà compris, aujourd’hui la science atteste des stupéfiants pouvoirs du silence : à nous de nous en emparer.