Quentin Markarian


Il analyse ses effets sur les droits des personnes trans incarcérées et interroge l’organisation carcérale binaire basée sur la séparation des sexes. Ses recherches se situent plus largement à l’intersection du droit pénitentiaire et des droits humains.

Depuis 2021, il est co-responsable de la Law Clinic sur les droits des personnes vulnérables, un enseignement de la Faculté de droit de l’Université de Genève abordant les droits humains dans un objectif de justice sociale. Le séminaire a pour but d’informer sur ses droits un groupe de personnes en situation de vulnérabilité juridique qui en fait la demande. Jusqu’à aujourd’hui, la Law Clinic a travaillé sur les droits des personnes en situation de handicap, des personnes en détention provisoire, des personnes LGBTI, des femmes sans statut légal, des jeunes personnes migrantes non accompagnées… Les étudiants réalisent des avis de droit qui sont vulgarisés et rendus accessibles par la production de brochures d’information juridique, de rapports alternatifs aux comités onusiens, de conférences, de formations, de campagnes d’affichages et de séances d’information.

Quentin Markarian est également responsable de la Commission détention pénale de la Ligue suisse des droits humains à Genève. Une association de défense des droits humains, composée de bénévoles qui rencontrent les personnes détenues dans les prisons de Suisse romande afin de contrôler leurs conditions de détention.Au début de l’année 2022, il a fondé La prison tue un observatoire citoyen des morts dans les prisons suisses et des violences d’Etat.

Magazine 360°

Atelier

Suicides, l’évasion silencieuse

Dimanche 3 juillet

9h30 – 11h

Jardin Leïs Eschirou, Dieulefit

Accès libre dans la limite des places disponibles.



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