Dans Appétits, il y a désir. L’expérience de la privation de liberté est infiniment plus complexe que la représentation que nous en avons. Les lieux d’enfermement recèlent les frustrations les plus grandes et les appétits les plus fous. La captivité les aiguise, qui prive de tout. L’altération des sens peut aussi conduire à la perte d’appétit. Ogre ou moineau, chacun le sien.