Chaque fois que je franchis les portes blindées d’une prison et que les surveillants fouillent mon cartable, il me semble que j’apporte à ces hommes mieux qu’un 38 Spécial, une lime ou un téléphone portable. Chacune de mes poches est bourrée de mots, de sensations, de cris, de tendresse et d’émotion.
Fabrique
La fabrique de l’écriture
dimanche 2 juillet
9 h 30
CAEM – Dieulefit
Jauge limitée